dernier RP à Fécamp

Alors qu'ils étaient tout les deux seul autour de leurs choppes comme souvent le soir dans la taverne,
Gourdino et Ricou discutaient.
Ils avaient passé leur journée à boire et les autres clients avaient finit par sortir de la taverne
gênés par tant de propos d'ivrognes mal placés et l'odeur pestilentielle que les deux amis dégageaient.
En réalité, aussi bien l'un que l'autre étaient tracassés par divers soucis,
alors noyant tout cela dans le calva maison qui à chaque fois était un peu plus fort que la précédente,
Ricou expliqua ses craintes à son ami et tavernier Gourdino.

Ricou a écrit:: Tu sais mon bon Gourdi, je sais pas toi comment tu t'es senti pendant les élections, mais moi là tu vois je suis pas tranquille.

Attrapant sa chope à pleine main il avala la moitié du contenu et d'un revers de la manche il s'essuya la bouche.

Ricou a écrit:: Tu t'imagine si nous venions a être élu,
je serais obligé de remplir une fonction et a rester cloitré dans un bureau comme tout ces pécnos de nobliard a deux sous.
Tu me vois toi dans un bureau enfermé toute la sainte journée.

Regardant son ami qui lui avait bien des soucis aussi mais complètement différents, il lui dit;

Ricouy a écrit:: Tiens, toi par exemple, depuis que je te connais hein, et le très haut peut le dire, çà remonte hein!!
et bien je ne t'ai jamais vu avec une pareil facièsse, qu'est ce que t'as?

Gourdi s'abreuvant d'une gorgée lui aussi lui expliqua.

Gourdino a écrit:: Eh bien mon ami, tu sais gérer la mairie ce n'est pas de tout repos...
J'ai du travail par dessus les oreilles et on me met beaucoup de responsabilités sur le dos.
Plusieurs personnes me disent que je m'occupe bien de la mairie et que je devrai lancer le mouvement pour faire diminuer les impôts du duché.
Mais en réalité je te le dis, ça me fait peur! Je n'ai pas envie de décevoir tout ce beau monde...

Reprenant son souffle et une gorgée de calva il poursuivit.

Gourdino a écrit:: Je suis aussi stressé par les prochaines élections. Que dois-je faire?? me représenter?
J'ai peur d'être déçu par le résultat si quelqu'un me passe devant haut la main.
En plus j'ai pris goût à ce train de vie! Tous les soirs c'est pintades au calva arrosé des meilleurs calvas de la région,
et tout ça aux frais de la princesse! Je ne peux pas revenir à mon ancienne vie à demie luxueuse...

Ricou buvait les paroles de son ami tout comme ses verres de calva et semblait bien compréhensif.
Un long silence s'installa, puis tout d'un coup Ricou s'écria!

Ricou a écrit:: On ne peut pas rester comme ça à se lamenter! Allons Gourdi reprend toi! On va faire ce que tout homme digne de ce nom ferait dans notre situation.
C'est-à-dire prendre la fuite!

Gourdino était bien étonné par cette proposition un peu loufoque et cru s'étrangler en buvant son verre.
Ricou continua

Ricou a écrit:: Mais si allons! On peut tout recommencer ailleurs. On laisse à Fecamp tous nos tracas, nos responsabilités et les gens qu'on connait.
La vie sera plus facile ailleurs j'en suis sûr!

Il s'arrêta un instant et soupira.

Ricou a écrit:: Bien sur le voyage va être cher... il nous faudrait beaucoup de vivres si on veut partir tout de suite et tout abandonner...

Frappé d'un éclaire de génie Gourdino hurla en projetant une gorgée de calva sur Ricou:

Gourdino a écrit:: Je sais où on peut trouver de la nourriture à volonté et pour rien du tout! Suis-moi!

Sautant par dessus le comptoir, il s'élançât en courant dans la rue et Ricou le suivit. Ils arrivèrent à la mairie.
Puis la contournant, ils se trouvèrent devant une grande porte renforcée avec du fer forgé.
Gourdino regarda alors à droite puis à gauche et quand il fut certain que personne ne les regardai, il pris une clef cachée sous un gros caillou.

Gourdino a écrit:: C'est la clef de la réserve Ricou!

Il tourna la clef dans la serrure de la réserve et ouvrit la porte. Une lueur se dégageait de la pièce. Partout des tas d'or, de poissons, de minerais...
Ricou en avait les larmes aux yeux. Tant de richesses en un seul endroit, cela n'était possible que dans les comptes venus d'orient!
Et pourtant ils ne rêvaient pas, les trésors de Fecamp leur tendaient les mains.
Se regardant dans les yeux Ricou et Gourdino se firent un sourire. Ils attrapèrent alors des sacs et les remplirent frénétiquement de toute sorte de denrées.
Ils dansaient et virevoltaient tels deux anges avinés dans la réserve de la mairie attrapant ici et là un rôtie de porc, une courgette, des botes...
Bientôt les sacs furent pleins.

Ricou dit à son ami;

Ricou a écrit:: Laissons quand même quelques unes de ces richesses aux fecampois, on les aime bien finalement et ils ne doivent pas trop payer pour notre nouvelle vie.

Gourdino acquiesça

Gourdino a écrit:: On ne prend que le strict nécessaire pour notre vie future et le voyage.

Les deux compères sortirent avec des gros baluchons sur le dos. Ils coururent vers l'alambic si vite qu'on aurait pu les croire possédés par le démon.
Arrivés, ils reprirent leurs places au comptoir et Gourdino servit plusieurs tournées.

Entre deux gorgées, Ricou dit à son ami

Ricou a écrit:: Voila nous sommes *hips* prêt à partir! Oh çà alors mon premier hips de la soirée.

Tout en rigolant Gourdino lui répondit

Gourdino a écrit:: Oui nous avons tout ce qu'il nous faut. Mais on ne devrait pas laisser de traces de notre ancienne vie sinon on va la regretter.

Montant sur sa chaise Gourdino hurla

Gourdino a écrit:: On doit bruler l'Alambic! Ahahahahh!

Alors qu'il riait à gorge déployée, Ricou put voir dans les yeux de son ami les milles flammes de l'enfer.
Il fut alors pris aussi de folie et attrapa une chaise pour l'envoyer dans le miroir derrière le comptoir.
Gourdino suivit le mouvement et lança les verres dans tous les sens.
Après avoir réduit le mobilier de l'Alambic en morceaux, Ricou pris plusieurs tonneaux de calva fort et les renversa sur le sol.
Gourdino prit la torche et la jeta dans la marre d'alcool.

Ricou a écrit:: Vite sortons!

cria Ricou.

Ils attrapèrent les sacs de nourriture et repartirent en courant vers la sortie de Fecamp.
Arrivés à la lisère du bois, ils s'arrêtèrent pour reprendre leur souffle et ils ne purent s'empêcher de regarder vers le village.
On pouvait voir de la fumée monter dans le ciel. Une lueur rougeoyante éclairait le centre du village. Par moment on entendait de petites explosions.
Ricou dit à voix basse

Ricou a écrit:: Le feu est arrivé jusqu'aux tonneaux de la réserve... Voila s'en est finit de l'Alambic de Papi.

Ils restèrent tout deux un cour moment à regarder les flammes monter dans le ciel. C'était une grande partie de leur vie qui disparaissait devant eux.
Fecamp... un village magnifique dont ils parlaient tous les jours durant leur long exil. Ils avaient tant espéré y revenir un jour et maintenant que c'était
fait, la triste réalité leur crevait les yeux. Le Fecamp d'autre fois n'était plus. Les gens avec qui ils rigolaient le soir en taverne avaient
pour la plupart disparu. En restant dans ce village ils se seraient condamnés à leur propre mort.

Tout d'un coup, brisant ce silence, on entendit des cris au loin. Les villageois avaient repéré le feu et tentaient de l'éteindre.
On pouvait entendre quelques voix.

les villageois a écrit:: "Vite éteignez ce feu... Y-a-t-il des gens à l'intérieur?... Oui Ricou et Gourdino... Ils y étaient ivre mort tout à l'heure..."

Gourdino regarda son ami

Gourdino a écrit:: Mince Ricou! Ils croient qu'on est encore dans l'Alambic et qu'on brule comme du petit bois!

Ricou lui répondit

Ricou a écrit:: C'est bien çà mon bon Gourdi, comme ça au moins on disparait pour de bon.

Mais Gourdino s'écria

Gourdino a écrit:: Pense à Ali! et nos quelques amis! Imagine leur chagrin en apprenant notre mort! On ne peut pas les laisser souffrir comme çà.

Ricou acquiesça et après une minute de réflexion répondit

Ricou a écrit:: Ceci est mieux ainsi l'ami,je ne veux pas que les regards s'abattent sur Aliènor,faut mieux que tous nous croient disparut dans els flammes.

Gourdino fit oui de la tête et Ricou pris les sacs sur ses épaules et dit quelques mots pour motiver son camarade

Ricou a écrit:: Allons Gourdi, prenons la route! Je ne sais pas ce qui nous attend mais je sens que nous allons vivre une grande aventure.

Gourdino ne put s'empêcher de verser une larme en regardant Fecamp pour la dernière fois et il répondit à Ricou

Gourdino a écrit:: Oui allons-y! Je te fais confiance Ricou et je te suivrai jusqu'en enfer...

Tout deux s'enfoncèrent alors dans la forêt quand leurs noms résonnèrent dans la nuit,surpris ils se cachèrent et virent Willy arrivé tout éssoufflé.
d'une voix saccadé il leurs dit,

Willy a écrit:: je sais que vous êtes là,j'ai vu ce que vous avez fait,soit je vous accompagne soit je dis vers ou vous êtes partit.

Embété,les deux amis sortèrent de leur bosquet et d'une voix basse,Ricou l'appela;

Ricou a écrit:: psiii,viens par là,bon ok tu nous suis,mais attention ont ne sais pas ou ont va alors pas de "j'ai faim,j'ai soif,j'ai mal aux pieds"

Willy accepta et les trois hommes disparurent dans la forêt et on ne les revirent jamais.

ceci n'est pas qu'un simple RP,tout ce qui y est raconté est la triste et joyeuse réalité.
au revoir Fécamp
fait en concertation entre Ricou,Gourdino et Willy

gourdino a écrit

Par ces quelques mots je tiens à dire adieux à Fecamp et ses habitants.
Excusez moi d'avoir agit de la sorte avec la mairie. Je me reconnais comme coupable et subirai toutes les conséquences s'il y en a.

Pour mes amis, je vous dis adieux. Je cite quelques noms au vol, que les oubliés ne se sentent pas vexés : ali, num, dd, aupyl... vous me manquerez
Je vous ait beaucoup aimé, et j'ai passé des jours heureux à Fecamp.
Au plaisir de vous revoir dans cette vie ou dans une autre...

Adieu tous, et merci pour ces moments en votre compagnie

Gourdino

Aupyl à écrit

Le feu, ce fléau pour les villes, avait ressurgi. Le brouhaha des villageois qui criaient, se lamentaient avait fini par réveiller la moitié du village.

Aupyl sentit l'odeur âpre de la fumée. Dans celle-ci, il reconnut les vapeurs d'alcool qui brulaient. S'en était trop. Pas une réserve de calva qui disparaissait en fumée. Aupyl s'habilla rapidement, puis sur les indications des villageois, il se rendit vers l'incendie. Au fur et à mesure qu'il se rapprochaient des lieux, il apprit que c'était la taverne de Ricou qui brûlaient, que celui-ci était à l'intérieur ainsi que le maire et d'autres clients.
Aupyl pressa le pas, et arriva sur les lieux. D'un rapide coup d'oeil, il évalua la situation et essaya de prendre en main celle-ci.
Il envoya quelques habitants chez les forgerons pour récuperer des seaux. puis il réquisitionna ceux en vente sur le marché. Et organisa une chaîne allant du puits vers le sinistre. Il envoya un garçon réveiller le maire, mais le gamin lui dit qu'il était introuvable ni à la mairie, ni chez lui. Il devait sans doute être dans le brasier.
Avec les hommes forts et vigoureux et l'aide de haches, il organisa "la part du feu". Celà pour éviter que le feu ne se propage vers d'autres habitations.

Merci de s'occuper du feu, même si les joueurs comprennent ce qu'il s'est passé, nos persos parent au plus pressé. On s'occupera du pillage de la mairie ensuite.

Pardallian à écrit

Pardy se reveilla soudainement il entendit des cris :au feu au feu:
il se leva a vive allure ,s'habilla rapidement et sortit .rejoindre les autres villageois qui faisaient la chaine pour éteindre l'incendie,il vit Aupyl qui avait prit les choses en mains

Matouminou à écrit

Matou et Horloger avaient été réveillés par les cris et tout le remue ménage de personnes qui couraient dans la rue. Ils s'habillèrent en vitesse pressentant une catastrophe...En sortant devant chez eux, ils virent au loin dans le quartier des tavernes, semblait-il, des flammes. Matou pensa aussitôt au Nain. Main dans la main, ils coururent et virent avec consternation que c'était la taverne de Ricou qui brûlait. Les rumeurs les plus folles circulaient. Ricou et Gourdino seraient encore à l'intèrieur...Le feu serait d'origine criminel....
Ils prirent place dans la chaine pour apporter leur aide. Il fallait agir vite.

Jobart à écrit

EDIT : erreur de jugement toute mes excuses

Matouminou à écrit

Matou entendit maugréer Jobart qui semblait passablement énervé, elle lui cria:

Pas le temps de se poser des questions...prends place avec nous...il faut éteindre le feu....

Aliénor à écrit

Alienor venait de réveiller en sursaut par des cris '' au feu"!!! , elle se leva, s'habilla précipitament, elle ouvrit la porte pour sortir quand elle vit une messive accrochée à la poignée de la porte quelle lut aussitôt, c'était un mot de son filleul Gourdino, qui lui faisait ses adieux, il expliquait que Ricou vait préparé son coup depuis une bonne huitaine de jours et qu'il l'avait persuadé de le suivre sur les voies de l'enfer et qu'ils avaient fui fécamp pour piller.

Alienor choquée mais néanmoins pas plus étonnée que cela, depuis quelques temps elle ne reconnaissait plus son mari. Celui-ci était devenu non plus le boulassier fier de défendre les couleurs de sa ville , mais un véritable poivrot dont le comportement incohérent et colérique lui devenait insupportable, ne s'intéressant plus à rien, critiquant ses anciens amis, incapable même d'accomplir ses devoirs conjuguaux, il était devenu une véritable loque.
Elle pensa aux engagements qu'ils avaient pris, Gourdino et lui, tous les deux sur la liste JVRMN alors que d'autres candidats auraient bien aimé y être. Sans parler de l'abandon du poste de maire qu'occupait Gourdino. Quelle lâcheté !!! Quelle bassesse !!!

Elle arriva devant la taverne en feu et cria à tous les bénévoles qui s'acharnaient pour essayer de la sauver:

Laissez la brûler !!! Ricou et Gourdino ne sont plus dedans ! ils ont fui Fécamp, Gourdino m'a laissé une missive pour me faire ses adieux et me prévenir qu'ils partaient pour brigander le royaume .

Que la honte soit sur eux !!!!!

Jobart à écrit

j interviens dans ce Rp e façon Hrp

Mais pour ceux qui n aurait pas compris encore....Ricou Gourdino et Willy on piller la mairie. Et ce dont je vous parle n est pas RP mais bien IG.Je vous dis ça afin de faire la colération entre les deux et bien vous faire comprendre ce que cela implique.

Sénope à écrit

Sénope fut reveillée par les cris dans la rue. Tout le monde s'activer deja autour d'un grand feu pour l'eteindre. Elle s'habilla rapidement et descendit pour preter main forte.

Elle rejoignit sa soeur qui assistait au desastre.

[quote="Aliénoré]Laissez la brûler !!! Ricou et Gourdino ne sont plus dedans ! ils ont fui Fécamp, Gourdino m'a laissé une missive pour me faire ses adieux et me prévenir qu'ils partaient pour brigander le royaume .

Que la honte soit sur eux !!!!![/quote]

Ils ont fuis ??? comment ca ??? Et la mairie ? Et la liste ducale ???

Sénope restait hébétée devant ce spectacle et tout ce qu'il impliquait...

Casimir à écrit

Casi s'approcha et vit ses amis fécampois s'acharner à sauver les ruines d'une taverne. Taverne qui comme son propriétaire avait connu les flammes de l'enfer. Le Calva avait fait tourner la tête à son ami, l'avait rendu incapable de discerner le bien du mal. Pauvre Ricou, toi qui avait des amis, de vrais amis, tu n'as pas su réussir, tu as tellement perdu...

Laissez donc brûler ce qui reste ! Que le vent d'automne emporte les restants de cette taverne. Qu'il balaye les souvenirs présents !

Casi s'approcha d' Alie, elle avait les yeux brillants. Des larmes rendues chaudes par la chaleur de l'incendie, car Ricou venait de lui prendre le restant d'amour qu'elle avait dans le coeur. Casi ne comprenait pas son ami.
Il prit une pelle et jeta de la terre sur les braises avec dans le coeur de la douleur et de la haine.

Amyleed à écrit

Amy etait sortie quand elle avait entendu Senope...

Comment ca ? C'est quoi cette hstoire ?

Lilie80000 à écrit

Lilie était assez fatiguée ses derniers temps a passer son temps dans les tavernes et boire ce délicieux liquide qui est le calva, elle n'avait rien entendu cette nuit là, elle avait le sommeil profond....mais a l'aube quand elle se réveilla enfin elle ouvrit ses rideaux et vit les villageois courir dans tous les sens de la rivière jusqu'aux tavernes essayant d'atténuer les quelques flammes qui avait bruler l'une d'entre elle, elle décida de sortir pas coiffé, pas lavé, juste ses habits sur elle et écouta quelques rumeurs...elle vit Amy et lui demanda:

Amy?! Que se passe t-il? c'est quoi cette histoire?

Puis décida d'aider les autres...

Horloger a écrit:

[rp]Horlo avait été alerté par les cris, dans la nuit. "Au feu! Au feu!" criaient les gens; il s'était levé aussitôt, et avait ouvert la porte. A quelques centaines de toises, on voyait une lueur rougeâtre, et un panache de fumée s'élever. Il s'habilla promptement, tandis que Matou se levait et prenait Mahaut contre elle, l'emmitouflant dans une chaude couverture. La nourrice lui avait dit qu'elle pouvait lui laisser n'importe quand; elle habitait à deux pas. Au pire, Matou resterait à la maison avec la petite...
Horlo courut vers le lieu de l'incendie; il vit peu après que c'était l'Alambic qui partait en fumée. Il prit sa place dans la châine formée par les villageois, et jeta des seaux d'eau sur les flammes; rejoint peu après par Matou, qui lui cria dans l'agitation indescriptible que Mahaut était chez la nourrice.
Tandis que certains jetaient des pelletées de terre sur les décombres, ils s'affairaient à éteindre les dernières flammes; fort heureusement, le temps pluvieux des jours derniers avait détrempé le terrain, et le feu n'avait touché que la taverne elle-même, sans toucher de bâtiments avoisinants. L'incendie avait dû être d'une grande violence, sachant le nombre de fûts qu'elle abritait...
Une grande confusion régnait parmi les villageois; certains disant que Ricou et Gourdi étaient encore à l'intérieur; d'autres ne sachant que penser. C'est alors qu'ils virent apparâitre Ali; elle avait les yeux brillants; une sourde colère semblait l'étouffer. Elle cria:

Alienor49 a écrit:: Laissez la brûler !!! Ricou et Gourdino ne sont plus dedans ! ils ont fui Fécamp, Gourdino m'a laissé une missive pour me faire ses adieux et me prévenir qu'ils partaient pour brigander le royaume .

Que la honte soit sur eux !!!!!

Alors, c'était vrai! Ils avaient agi délibérément, mettant en péril d'autres Fécampois...on verrait plus tard en ce qui concernait leur sort, le plus urgent était d'éteindre l'incendie. Horlo vit arriver Casi, et l'entendit siffler entre ses dents:

Casimir a écrit:: Laissez donc brûler ce qui reste ! Que le vent d'automne emporte les restants de cette taverne. Qu'il balaye les souvenirs présents !

Il parlait sagement...inutile d'essayer de sauver quoi que ce soit; plutôt que tout disparaisse avec le forfait de ses auteurs!...[/rp]

Matou à écrit

Citation :: Laissez la brûler !!! Ricou et Gourdino ne sont plus dedans ! ils ont fui Fécamp, Gourdino m'a laissé une missive pour me faire ses adieux et me prévenir qu'ils partaient pour brigander le royaume .

Que la honte soit sur eux !!!!!

Matou entendit Alienor hurlait avec colère...elle était épuisée car l'incendie avait fait rage...Sauver la taverne s'était avéré inutile mais c'était surtout éviter que le feu ne se propage aux habitations alentours.
Elle regarda, interloquée, Alienor. Des larmes coulaient sur son visage. Elle vit Aupyl, Jobart et Casi. Elle se précipita vers eux et attrapant le premier par le bras, elle demanda d'une voix angoissée:

Aupyl??? que se passe-t-il...s'il te plait!!! qu'est-il arrivé??Pourquoi Alienor dit-elle ça? Oh......par Aristote....

Matou sentit la peur l'étreindre...à voir les visages de ceux qui l'entouraient , elle comprit que la situation était grave!!

Aupyl à écrit

Aupyl??? que se passe-t-il...s'il te plait!!! qu'est-il arrivé??Pourquoi Alienor dit-elle ça? Oh......par Aristote....

Parti brigander le royaume?
Aupyl fut pris d'un doute affreux, et si tout celà était vrai. Il réunit quelques gros bras puis se dirigea vers la mairie. Les miliciens les empêchèrent d'entrer. En parlementant avec eux, il apprit qu'il était parti cette nuit avec plusieurs chariots.
Malheureusement, aucune précision sur ces stocks volatilisés, volés. Les archives de la mairie avait disparu également.
Aupyl réfléchit quelques instants.
-Bon, il me faut des gros bras pour l'instant pour empêcher un nouveau pillage. Je vais faire appel à la Bande de Normandie et prévenir le conseil ducal

CBX à écrit

cbx qui avait entendu hurler alienor se dirigea vers la mairie, c'était ce qui le préocupait le plus.

des tavernes il y en a encore tandis que la mairie, il y en a que une, la notre!!!

ils nous ont bien eut ces coquins, le dernier jours de son mandat, mmmmh je vais lui faire sa peau!!!!

après un rapide petit tour sur le marcher, il y a de quoi tenir quelques jours, heureusement

faut-il en faire part au duché?, plusieurs fécampois sont actuellement en campagne pour les ducales, ça pourrait les embèter surtout que gourdino et ricou fescait partie de leur liste

comment peut -on protèger la ce qui reste à la maire correctement?

Amyleed à écrit

Amy avait du mal à croire que ceux avec qui elle avait bu tant de calva aient pu faire une chose pareil... Shocked Shocked

Que va devenir ma mairie ? Va t'elle devenir la proie de brigands ? Evil or Very Mad Doit on la prendre d'assaut pour eppecher qu'elle ne tombe en attendant les elections ?

Amy etait perdue... Elle se demandait egalement à combien s'elevait le vol... Evil or Very Mad

Un proces pour les voleurs !!!!!! Twisted Evil Twisted Evil

Numénor à écrit

Numenor entendit dans la rue des pas de course presser, Il prit sa fille Lilas sans la réveiller et sorti dehors. Au loin un brouillard noir s'élevait au dans le ciel, il s'approcha du lieu et découvrit la taverne de ses amis bruler de jolie nuances rouge, orange et jaune.
Quand il compris par les rumeurs qui s'étendais déja, ricou et gourdino étaient parti, sans lui. Il lâcha une larme avant d'aller voir ali et l'invité boir un verre à la maison pour décompresser un peu et discuter.